Howa et Sumaya
Howa et Sumaya ont tout perdu au moment où les milices ont attaqué leurs villages du Darfour. Entre les souvenirs et le quotidien précaire au camp des déplacés, comment se reconstruire et croire en l'avenir ?

Howa et Sumaya (Darfour), réalisation Eza Paventi


ENVOYÉ PAR STEPHANIE LAPOINTE LE 12 MARS 2009
Merci de votre commentaire
Merci Richard Nicol d'avoir partagé votre réflexion sur le site.
En effet, il est difficile de mesurer l'impact des gestes que nous posons ou des projets que nous menons. Seulement, je suis d'avis que chaque projet, aussi petit soit-il, qui peut attirer l'attention sur un conflit comme celui du Darfour, est louable et à sa place sur un site comme celui de Radio-Canada International.

Merci,
Stéphanie Lapointe.

ENVOYÉ PAR RICHARD NICOL LE 4 JANVIER 2009
Vous n'aidez que vous-mêmes
Bonjour Stéphanie, vous êtes une fille vraiment sympa et touchante qui souhaite toucher les autres. Je le tente aussi à travers mon travail et mon bénévolat. On finit par constater que l'on n'aide que nous-mêmes. Car, qui profite le plus de ces expériences ? Vous et moi. Je ne vois donc pas de courage dans vos activités. Ne rêviez-vous pas de faire cela? Mais, cela ne veut pas dire de stopper. C'est fort bien. Bonne continuation.


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Howa et Sumaya
À quoi peut-on s'accrocher lorsque la guerre nous force à l'exil ?
 

 

Gaspard
Comment enseigner l'histoire aux enfants après un génocide?
 

 

Halima et Abdulgasim
Est-il possible de grandir dans un camp de déplacés au Darfour?
 

 

Berthe
Au lendemain d'un génocide, lorsque le souvenir de la tragédie est encore très vif, vaut-il mieux partir ou rester?
 

 

Éric
Celui qui naît en exil peut-il renaître au pays où se trouvent ses racines?


 

 

Mohammed
Que reste-t-il de l'enfance quand on a grandi une arme entre les mains?